mercredi 28 octobre 2015

Quand l’art inuit contemporain sensibilise au changement climatique…

À l’occasion de la 21e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 21), qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, le Département des Relations Extérieures et de la Coopération du Gouvernement Princier a souhaité mettre en lumière le changement climatique au Musée océanographique, à travers une exposition d’œuvres inuites contemporaines mêlant art, science et sensibilisation.




L’exposition ‘Linked’ soulignera l’interdépendance des différentes cultures et l’urgence à aboutir à un accord international permettant de lutter efficacement contre le changement climatique.

Cette exposition rassemblera des œuvres d'artistes de l'arctique russe, canadien et du Groënland, comme celles d’Abraham Anghik Ruben, et les productions des artistes occidentaux suisses et italiens Alois Lichtsteiner, Alessandro Sciaraffa et Mario Merz.

Organisée par la Cerny Inuit Collection, qui prêtera la majeure partie des œuvres, cette exposition présentera également des œuvres prêtées par la Fondazione Merz.

Mises à l’honneur au premier étage, dans la salle Albert Ier, ces pièces feront écho à la diffusion de films sur les expéditions du Prince Albert Ier et de S.A.S. le Prince Albert II de Monaco aux pôles, pour sensibiliser les visiteurs à la fragilité de cette partie du monde si importante pour notre vie et survie.

L’exposition ´Linked´ bénéficiera du soutien de la Confédération suisse.

Du 29 novembre 2015 au 29 février 2016, au Musée océanographique de Monaco

Matière grise - COP 21

À L’OCCASION DE LA 21ème CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES (COP 21), le Forum d’Urbanisme et d’Architecture de la Ville de Nice programme, du 4 novembre 2015 au 23 janvier 2016, en collaboration avec le Pavillon de l’Arsenal, la première présentation en France après Paris d’une exposition intitulée "Matière grise", consacrée à la question du réemploi des matériaux de construction comme source de création et d’innovation au-delà de la simple dimension de responsabilité écologique.

Cette exposition, qui démontre que la réutilisation et le recyclage représentent une ressource et une opportunité, fait écho à l’ensemble des actions en faveur de l’environnement et du développement durable mises en place par la Ville de Nice et la Métropole Nice Côte d’Azur.

Consommer "plus de matière grise" pour consommer "moins de matières premières" est l’un des enjeux de cette exposition, qui présente soixante-dix réalisations en France et à travers le monde mettant en pratique l’usage renouvelé des matériaux comme source de sens et d'intelligence : une simple serre agricole née de l'assemblage de vieux pare-brise de voitures en Mongolie, des briques de seconde main pour construire des pavillons neufs, les portiques d’un viaduc autoroutier qui structurent une villa, le bardage refusé pour un centre commercial qui enveloppe une école des arts du cirque, 72 000 dalles de moquette qui soutiennent une maison, au futur siège du Conseil européen qui se pare d’une façade composée de 3 000 fenêtres récupérées.

Pour prolonger l'exposition, une installation originale en matériaux de réemploi est créée au cœur de la galerie par les architectes du Collectif Etc. en collaboration avec des étudiants de l'École de Condé Nice.

Exposition créée par le Pavillon de l’Arsenal, Centre d’information, de documentation et d’exposition d’urbanisme et d’architecture de Paris et de la Métropole parisienne, adaptée et prolongée par une programmation locale d'événements spécifiquement pour sa présentation au Forum d'Urbanisme et d'Architecture.

4 novembre 2015 au 23 janvier 2016.
Forum d’Urbanisme et d’Architecture
Place Yves-Klein – Nice

Noël Dolla au Palais de Tokio

Lors de l’été 2013, la VILLA ARSON à Nice invite Noël Dolla à réaliser une exposition.
Celui-ci choisit de présenter une exposition monographique et collective à la fois, exposition dans laquelle il invite près de 80 artistes, pour la plupart amis et compagnons de route, récents ou plus anciens. Sous le titre « Entrée libre mais Non obligatoire », cette exposition couvrait une grande partie des espaces de la VILLA ARSON, soit près de 23 000 m2. Pétri de surprises, le parcours était destiné à bousculer les modalités traditionnelles de présentation des oeuvres.

Dans le livre éponyme coédité par BLACKJACK éditions et la VILLA ARSON le travail de l’artiste est agencé de manière organique, à travers un jeu d’associations intuitif et subjectif. La mise en écho des œuvres se moque de la chronologie comme du cloisonnement par médium. Pour autant, le livre n’élude pas l’histoire de cet artiste que l’on dit Supports/Surfaces, comme si cette aventure se réduisait à un courant, à un « -isme ». L’ ouvrage est l’histoire sur 442 pages d’un déracinement toujours recommencé, d’un territoire artistique improbable, singulièrement ancré au cœur d’une trajectoire assumée.




Enfin, à l’initiative de L’ÉCLAT, Marianne Khalili-Roméo et Robert Kudelka ont réalisé, toujours sous le même intitulé, un film consacré à Noël Dolla. L’artiste s’exprime sur son engagement de peintre, d’enseignant et d’homme dans la société. Film sans commentaire, ni analyse, la parole de l’artiste construit un récit qui a pour matière son art et sa vision politique, sa façon de se situer dans l’histoire et de défendre une position singulière dans l’art contemporain.
Ces dimensions ont donné tout son sens à une oeuvre plastique gigantesque, entreprise depuis 1967.

La rencontre sera introduite par Jean de Loisy (président du Palais de Tokyo) et Jean-Pierre Simon (directeur de la Villa Arson).

Mercredi 4 novembre de 19h à 21h
Accès sur présentation du ticket d’entrée du Palais de Tokyo PALAIS DE TOKYO Salle 37 – 13, avenue du Président Wilson 75 116 Paris.

vendredi 23 octobre 2015

70 ans d’art contemporain, ça se fête !



Pour célébrer les soixante-dix ans de sa fondation en 1946 par Henri Matisse, Pierre Bonnard, Jean Cassarini et le docteur Thomas, l’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne va mettre en place de nombreuses expositions tout au long de l’année 2016.
Mais l’UMAM a décidé de commencer dès cette fin d’année et les expositions et les vernissages vont se succéder.

# 1 – BEYROUTH

Mardi 3 Novembre à partir de 18h00 (jusqu’au 17 Novembre) 

Marc Gaillet

MUSTAFA ALI, MARIA AMOS, CHARBEL SAMUEL AOUN, STEFANO BOMBARDIERI, MATTEO CARASSALE, MAURO CORDA, FERIAL, MARC GAILLET, DOMINIQUE JAUSSEIN, MIRYAN KLEIN, ANTHONY MIRIAL, NACER, PIERRE RIBA, RAOUF RIFAI

(les artistes de l’UMAM à Beyrouth)


Mark Hachem Gallery - Capital Gardens, Salloum St. Mine el Hosn - Beyrouth

# 2 – PARIS

Mercredi 4 Novembre à partir de 18h30

Patrick Wack

PATRICK WACK

Maison de la Métropole Nice-Côte d’Azur à Paris (41-43 rue Saint Dominique 75007 Paris)

# 3 – MARSEILLE

Vendredi 20 Novembre à partir de 18H30



Pierre Ribà

PIERRE RIBA

MARC GAILLET

CLAUDE ROTINI

(Signature de l’ouvrage « Mon frère » d’Alain Depardieu, pendant le vernissage)

Galerie 146 – 146 rue Paradis – 130006 Marseille

# 4 – NICE

Jeudi 10 Décembre à partir de 19h00


Gérard Haton-Gauthier

ANTHONY MIRIAL

GERARD HATON-GAUTHIER

GERARD TARIDE


Vision Future - 5, rue du Congrès - 06000 Nice

lundi 19 octobre 2015

Franck Doat à la Doberth Gallery

Nouvelle galerie à Nice : la Doberth Gallery !

La Doberth Galerie est née de la passion commune pour l’Art entre deux artistes.
En s’installant au Village Ségurane, au cœur du quartier des antiquaires de Nice, ces deux passionnés ont ainsi voulu créer un lieu qui leur ressemble, dans un quartier atypique où se côtoient antiquaires, brocanteurs, décorateurs, galeristes, artisans d’art, un espace unique à l’abri des regards et en plein renouveau. Un mélange des époques qui mettent ces boutiques et ces œuvres d’art en valeur.
Un lieu d’exposition où se mêle le travail photographique, les peintures et les sculptures de Franck Doat, mais également les œuvres des artistes qu’ils invitent, au grès de leurs envies, de leurs rencontres en donnant la visibilité à des artistes émergents librement inspirés par leur univers.
Leur ambition est de « démocratiser » l’art et de le mettre à la portée de tous, tout en se faisant plaisir et en partageant ce plaisir.


Un lieu vivant où leurs personnalités se respirent dans chaque objet exposé.
Aux visiteurs d’investir ce nouvel espace baigné de blanc.
« C’est par l’œuvre d’art que l’homme, en lui, vit plus loin. » Patrick Dupressoir.

Lors de l’inauguration le 17 septembre dernier, les visiteurs ont pu découvrir le travail, de Franck Doat artiste photographe et plasticien et son dernier travail inspiré par la mode et le flacon emblématique du N°5 de Chanel, de nouvelles images inédites.



Jusqu'au 31 octobre

Village Ségurane, 2 Rue Antoine Gautier, 06300 Nice

06 19 02 60 22

Henri Baviera - Carnet de bord à Carros

En conclusion d’une année marquée au CIAC par la révélation des artistes carrossois et la célébration internationale du cinquantenaire de la disparition de Le Corbusier, la ville de Carros présente en son centre d’art contemporain un regard rétrospectif sur le parcours d’un artiste qui a pris part aux grands courants de la création sur la Côte d’Azur, tout en développant un univers très personnel.

SHAGAN - 2014 - Acrylique sur toile - 162 x 130 cm
D’abord à Saint-Paul de Vence où il côtoie André Verdet et les grands noms de la modernité, puis à Nice au coeur des mouvements d’avant-garde, et enfin à Lorgues depuis les années 2000 dans un environnement propice, Henri Baviera a connu plusieurs périodes, riches et diversifiées. Son œuvre a bien sûr été orientée par les sites et les lieux qu’il a fréquentés, les ateliers qu’il a créés, les rencontres qu’il a vécues. Graveur réputé, il a de plus travaillé à quatre mains avec de nombreux confrères plasticiens ou écrivains, au carrefour de multiples influences et approches.

Au-delà des différentes techniques mises en action avec virtuosité, il exprime avec constance un message d’espoir, demandant à ses contemporains un peu plus de respect pour la vie et la nature. À travers l’oeuvre d’Henri Baviera, c’est cette double dimension, humaine et territoriale, que nous sommes heureux de mettre en lumière aujourd’hui.

Exposition : du 24 octobre 2015 au 31 janvier 2016
Vernissage : samedi 24 octobre 2015 à 11h30

Château de Carros - Centre International d'Art Contemporain (CIAC)
Entrée libre - Tél. 04 93 29 37 97
ciac@ville-carros.fr - http://www.ciac-carros.fr

  

samedi 17 octobre 2015

Bahram Hajou, grand prix Matisse de l'UMAM, exposé au Petit Palais

Le Prix Matisse 2014 de l'UMAM a été attribué à un syrien, quel symbole en ce moment ! Bahram Hajou nous offre des personnages aux yeux fixés vers le spectateur dans un univers d’une grande légèreté, presque transparent. Un monde parallèle « comme émanent des limbes d’une conscience pétrie de fraternité » (Ludovic Duhamel).
Ce monde humain, sans agressivité, ce monde plein d’espoir est un véritable message de paix d’un artiste vivant dans un pays en guerre.



Du 22 au 26 octobre 2015
Petit Palais - Paris - Stand 104 A
Contacts : Galerie GNG - 06 15 09 58 90
www.galeriegng.com - infos@galeriegng.com

Arman au MAMAC

La Ville de Nice rend hommage à l’une des figures emblématiques du Nouveau Réalisme, Armand Pierre Fernandez, dit Arman, né le 17 novembre 1928 à Nice. L’artiste a toujours maintenu des liens étroits avec la région. Il se lie d’amitié avec Yves Klein dès leur rencontre en 1947 à l’école de Police de Nice lors de cours de judo. C’est dans la boutique de meubles de son père, rue Paul Déroulède, qu’il découvre le potentiel esthétique du tamponnage sur papier. C’est à l’Abbaye de Roseland au festival du Nouveau Réalisme en 1961, qu’il brise des meubles réalisant une « Colère ». Il installe, pendant plusieurs années, son atelier avenue de la Lanterne. Enfin, c’est à Vence qu’il fait construire une maison-atelier conçue par l’architecte et ami Guy Rottier, où il réside fréquemment.
Jean Ferrero, Arman, Vence, 1967 © Adagp, Paris, 2015
Dix ans après la disparition de cet archéologue de la société industrielle (le 22 octobre 2005 à New York), la ville de Nice lui consacre aujourd’hui une exposition permettant de mettre en lumière et de comprendre sa démarche artistique. Son œuvre allie remise en cause permanente du tableau par l’appropriation et le détournement d’objets du quotidien, et attachement profond à la tradition picturale, des premiers « Cachets » et « Allures » d’objets en passant par les « Accumulations », les « Poubelles » et les « Coupes », jusqu’aux « Colères » et « Combustions ». Arman est un amateur d’opéra, d’arts martiaux, mais aussi un grand collectionneur d’art africain (collection qui fera l’objet d’expositions) et de voitures de sport. Ses œuvres sont très présentes dans le paysage urbain de grandes villes d’Europe et des États-Unis comme Long Term Parking à Jouy-en-Josas (1982, 18 m de haut, composée de 2000 tonnes de béton et 60 voitures) ou Le Jardin des Délices pour la parfumerie Fragonard de Grasse (sculpture de 6 m de haut faite d’imposants alambics).

Après les expositions « Passage à l’acte » (2001) et « Subida al cielo » (2006), le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain (MAMAC) offre un aperçu de la production artistique de l’artiste à travers une vingtaine d’œuvres issues des collections de la ville de Nice : d’une part, des collections permanentes du musée et, d’autre part, de la Donation Ferrero consentie en 2013 à la Ville et regroupant des œuvres d’artistes de l’École de Nice. Arman occupe une place essentielle les collections du musée qui comptent pas moins de huit acquisitions, des premières du début des années 1980 aux plus récentes datant de 2005, complétées par des donations dont deux faites par l’artiste et plusieurs dépôts, notamment privés. Au-delà des œuvres conservées, cet accrochage est aussi l’occasion de rappeler les actions où l’artiste accumule, détruit, brûle des objets neufs et usagés. Un espace documentaire présente catalogues, cartons d’invitation et documents d’archives. Enfin, le parcours est complété par la projection de vidéos afin de mieux appréhender sa démarche et ses actions.

Parallèlement, la Donation Ferrero, place Pierre Gautier, propose une quarantaine de photographies d’Arman réalisées par Jean Ferrero. Célèbre galeriste niçois, photographe et collectionneur, ce dernier a participé à l’émulation de la scène artistique locale à partir des années 1970. Cet accrochage révèlera une histoire plus personnelle, celle d’une amitié entre un marchand-photographe et un artiste.

7 novembre 2015 - 6 mars 2016

Donation Ferrero - Place Pierre Gautier - Nice
MAMAC - Place Yves Klein - Nice
                            

Rétrospective Harry Moberg

Peintre, sculpteur, graveur né en 1927 à Öregrund, Suède.
Sa vie artistique oscille entre la Suède et la France.


Du 16 octobre au 15 novembre 2015

267 route de Gordes - Coustellet
84220 Cabrières d'Avignon
Tel. 04 90 71 85 06

Nice : Anna Tomaszewski et Simon Nicolas à la Marine


Nice : Frédérique Nalbandian et Charlotte Pringuey-Cessac

Expositions Mille Litres et Variations

Mille Litres

Frédérique Nalbandian travaille à petite et grande échelle la sculpture, l’installation évolutive, la
réalisation in situ, le dessin. Elle manipule deux substances : le savon et le plâtre, mises en scène
par des procédés directs et expérimentaux, proche de l’improvisation. Elles forment avec l’eau les
fondements de sa pratique.
Mille litres est une sculpture évolutive, destinée à se transformer au fil des expositions sur plusieurs
années.
Elle est composée d’un moulage en savon, d’une citerne d’eau de 1000 litres et d’un bac de rétention
métallique. Le volume est travaillé/modelé par l’érosion libre et naturelle des eaux, plus spécifiquement dans sa partie inférieure par l’intermédiaire d’orifices creusés prévus à cet effet. Des sillons de plus en plus profonds et autres transformations se formeront pendant l’exposition créant un nouveau corps.
Ce work in progress devient un espace expérimental au sein duquel la matière est active.
Après une première présentation en 2013 à la Foire de Paris, puis en juin dernier dans le Parc de la
Maison Blanche à Marseille, « Mille litres » poursuit aujourd’hui son itinéraire spatio-temporel et sa
métamorphose à la Galerie Eva Vautier.


 Variations

«Je frotte, j’aplatis, j’explose, j’écrase, j’enfonce... . Bruissements d’actions plastiques premières
dont naissent des visions sophistiquées, intrigantes qui opposent des principes formels qui ont
longtemps servis à distinguer les Abstractions entre elles et dont l’artiste nous prouve la nature
primitive : le lyrique et le géométrique, l’expression et le concept que sont-ils d’autre que le reflet de
la facture d’un monde où s’oppose toujours l’organique et le cristallin, la faune sous-marine et droit
bambou ?
En réintroduisant des motifs naturels et utilisant des matériaux pauvres, l’artiste nous rappelle qu’au
cœur des abstractions, c’est le cœur du monde qu’on entend.»
Klaus Speidel - Chuchotement et contrepoint, 2015

Exposition du 17 octobre au 5 décembre 2015
Galerie Eva Vautier - 2 rue Vernier NICE - galerie@eva-vautier.com - www.eva-vautier.com

mardi 13 octobre 2015

L'UMAM 70 ans présente : les artistes de l'UMAM à Beyrouth

 L’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne, dans le cadre des 70 ans de sa fondation
& la galerie Mark Hachem
présentent :

LES ARTISTES DE L'UMAM

A BEYROUTH

La Galerie Mark Hachem a le plaisir de vous présenter l’exposition collective « L’écho au chaos » regroupant un panel d’artistes exposés lors de la dernière biennale de l’UMAM au Château-Musée Grimaldi de Cagnes-sur-Mer, sur la Côte d’Azur. L’exposition aura lieu du 3 au 17 Novembre 2015. Cet évènement de portée internationale offre une plateforme pour les artistes émergents, conformément à l’esprit des parrains fondateurs de l’association. Cette exposition bénéficie du soutien de l’UMAM.


"L'écho au chaos" c'est une sélection d’œuvres choisies qui contribuent activement à la scène artistique contemporaine des quatre coins du monde:

Mustafa Ali, Maria Amos, Charbel Samuel Aoun
Stefano Bombardieri, Matteo Carassale, Mauro Corda
Férial, Marc Gaillet, Dominique Jaussein, Miryan Klein
Anthony Mirial, Nacer, Pierre Riba, Raouf Rifai

Toute frontière géographique, morale et esthétique est abattue, dans un acte de revendication de la liberté artistique. En tendant l’oreille, on entend résonner l’écho du chaos, véritable expression de l’univers contemporain. Toutes conventions et limites sont effacées pour faire place à la créativité libre.

VERNISSAGE : Mardi 3 Novembre 2015 à partir de 18h

EXPOSITION : Du 4 au 17 Novembre 32015


MARK HACHEM GALLERY
Capital Gardens, Salloum St. Mine el Hosn
Beirut
Lebanon

POUR EN SAVOIR PLUS : http://ficanas.blog.lemonde.fr/2015/10/15/les-artistes-de-lumam-exposes-a-beyrouth/


L'UMAM 70 ans présente PATRICK WACK

 L’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne, dans le cadre des 70 ans de sa fondation
et la Maison de la Métropole Nice Côte d'Azur à Paris
présentent :

PATRICK WACK




Le monde qui nous entoure et nous habite est bien souvent insaisissable.

Ici et ailleurs, en haut ou en en bas, dedans ou dehors, blanc ou noir, masqué ou démasqué, tout est partout à la fois. C’est son charme. Quel est-il ? Ses apparences reflètent-elles la réalité ? Quelle est-elle ? L’indépendance de l’objet ou les fantasmes du sujet ?
Ce monde qui nous entoure et nous habite, en tout cas, nous offre un paysage inépuisable d’illusions et de mirages dans lequel nous entraîne Patrick Wack.
Sans truquer ni modifier ses images, il donne à voir ce qui n’est pas en ne faisant pas voir ce qui est. Il fait passer la réalité ou son apparence à travers le tamis de l’abstraction pour créer sa propre réalité.
Les titres qu’il donne à ses réalisations suggèrent un sens possible de l’image.
La particularité de son travail est la mise en place d’une petite image au cœur de chaque tableau, dont l’extension crée le visuel final.
Chaque œuvre est réalisée en pièce unique, avec tirage pigmentaire collé sur Dibond, formats de 50 x 70 à 75 x 100.
Ses expositions individuelles et collectives, ainsi que les articles de presse qui lui sont consacrés sont consultables sur son site : patrickwack.fr





La vie de Patrick Wack est une histoire de poésie.
Né en Afrique, ce photographe français écrit depuis son plus jeune âge des poèmes qu’il publiera régulièrement sous forme de recueils.
A la suite d’un accident, où il risque de perdre la vue, il décide non plus d’écrire, mais de photographier la poésie du monde.
Un appareil photo sera dès lors son nouveau cahier d’écriture.
Ses images énigmatiques et insolites nous révèlent une
autre vision de notre quotidien, de notre environnement, même le plus banal.
Des titres étranges suggèrent plus qu’ils ne dévoilent une lecture singulière et ludique de son œuvre.
Il choisit de tirer chacun de ses clichés en pièce unique, afin de partager avec « l’autre » un moment d’exception, une intimité, une complicité fugace, comme celle que l’on peut ressentir à la lecture d’un poème.
Les images qu’il nous donne à voir ne sont ni modifiées ni recadrées après la prise de vue.
Son travail, que ce soit en France ou à l’étranger a été fort bien accueilli et beaucoup le qualifient « d’artiste conceptuel ».

Expositions personnelles :

Scotch Tea House, Nice Juin- Septembre 2012
Bloom, Nice Novembre 2012- Janvier 2013
NY- ION Studio, New York "Secrets d'Images", Mai - Août 2013
Musée de La Citadelle, Villefranche-sur-mer, France - Avril - Mai 2014 Galerie Rikia Ferrer , Riquewhir , du 15 septembre au 15 Novembre 2014 Chapelle des Penitents Blancs, Aspremont du 17 juillet au 9 août 2015

Expositions collectives :

Nice, France - Espace Vision Future, Avril- Août 2013
Miami, USA- Select Fair, Décembre 2013
Biennale du Triangle d'Art du 19 Octobre au 9 Novembre 2014 - Saint-Agnès
Nice, Le Grand Atelier au Forum Jorge François du 17 décembre 2014 au 9 Janvier 2015

Expositions à venir :

Galerie 38K, à Munich Novembre 2015
AIAP / UNESCO à Monaco du 3 au 14 décembre 2015
DARKROOM Galerie à Nice du 2 Décembre 2015 au 28 Février 2016
12, rue Maccarani Nice – contact@darkroomgalerie.fr - www.darkroomgalerie.fr

4 novembre 2015 à partir de 18h30
lexposition sera suivie dun cocktail


Maison de la Métropole Nice Côte dAzur
41-43 rue Saint Dominique 75007 PARIS







jeudi 8 octobre 2015

Exposition de Nicolas Rubinstein, Grand prix de la ville de Cagnes de l'UMAM

Récompensé en obtenant en 2014 à la biennale de l'Union Méditerranéenne pour l'Art Moderne, le grand prix de la ville de Cagnes-sur-Mer, Nicolas Rubinstein que l'on avait découvert pour la première fois sur la Côte d'Azur va présenter une exposition personnelle au château-musée de Cagnes-sur-Mer.
Elle a pour thème : Zones Vagues.


L'exposition se déroule du 17 octobre 2014 au 17 janvier 2015 et le vernissage vendredi 16 octobre à 18 heures.

"L'art du chant italien" par la soprano Dénia Mazzola.

Dans ce récital Dénia Mazzola interprètera des extraits des Noces de Figaro, le Barbier de Séville, Anna Bolena, Le Cid, mélodies Liberty de Tosti / d’Annunzio, chansons napolitaines et des variétés internationales.


Denia Mazzola - Gavazzeni est une soprano italienne d'opéra.
Elle étudie au conservatoire de Vérone sous la direction de Rina Malatrasi, Rodolfo Celletti et Leyla Gencer. En septembre 1983, elle commence sa carrière professionnelle qui l'amène rapidement à un parcours international avec des rôles tels que Gilda dans Rigoletto, le rôle-titre de Lucia di Lammermoor, Elvira dans I puritani, Adina dans L'elisir d'amore et Norina dans Don Pasquale.

Elle se distingue ensuite par son talent dans des rôles de coloratura dramatique tels que Violetta dans La traviata, les rôles-titres de Maria Stuarda et de Lucrezia Borgia, Elisabetta dans Roberto Devereux, et le rôle-titre très exigeant d’Esclarmonde, qu'elle chante pour la première fois au cours du festival Massenet de Saint-Étienne, en octobre 1992, et qu'elle redonne ensuite au Teatro Massimo de Palerme, en janvier 1993.

Denia Mazzola Gavazzeni chante sur des scènes prestigieuses telles que la Scala de Milan, La Fenice, Filharmonico Vérone, San Carlo, Comunale de Florence, Bellini de Catane, Carlo Felice de Gênes, et des villes comme Cagliari, New York, Rio de Janeiro, Mexico, Santiago de Chile, Pretoria, Le Cap, Durban, Johannesburg, Vienne, Hambourg, Frankfort, Cologne, et d'autres.

Elle enregistre une série de DVD et de CD, parmi lesquels Esclarmonde (Koch-Schwann, 1994), Parisina (Actes Sud, 2000), Caterina Cornaro (Agora, 1996), Lucia di Lammermoor (Nuova Era, 1989), et d'autres

L'accès à la soirée se fera sur participation libre en faveur de la restauration de la Chapelle Saint-Hospice.

Vendredi 16 octobre 2015 - Eglise Saint Jean-Baptiste - Saint-Jean-Cap-Ferrat
L'après concert: Le concert sera suivi d’un repas en compagnie des artistes à La Cabane de l’écailler - 45€ par personne (boissons comprises) . Réservation à l’Office de Tourisme 04 93 76 08 90 - Dress code élégant

jeudi 1 octobre 2015

Max Charvolen « Frontières et passages » à la Galerie Depardieu

A l’occasion de sa première exposition personnelle à la galerie Depardieu, Max Charvolen présente des œuvres récentes réalisées depuis 2014.

Son œuvre se structure selon trois axes problématiques principaux : les éléments de la peinture, l'espace, la représentation.
Au travaux des années 60-70 centrés sur la toile et ses diverses modifications par découpes, pliages, couture, colorations et se servant du format du tableau comme modèle, succèdent, à partir de 1979, les œuvres modelées sur bâtis et objets. De- puis cette date il fragmente la toile par découpe avant de la recomposer sur des objets ou espaces bâtis dont il met ensuite la figure à plat. La coloration devient alors un moyen de différencier et de mettre au regard tel ou tel élément de l'œuvre : processus, volume, périmètre, limites et bords. Une partie de son travail s'intéresse aux variations des mises à plat possibles d'un même volume en recourant au calcul et au dessin numérique. Jean Petitot a pu analyser son projet comme un renversement de la perspective classique : là où la peinture cherchait à donner en deux dimensions l'illusion de la profondeur, Max Charvolen donne à voir, à l'échelle 1, dans la réalité des deux dimensions, le souvenir des trois dimensions. Ce faisant, il "traite de la représentation sans passer par la figuration" et donne de nouveaux formats et de nouvelles raisons à nos espaces symboliques. Raphaël Monticelli.



Les œuvres qui sont présentées à la galerie Depardieu sont un choix parmi celles qui ont été réalisées lors de résidences dans les villes d’Eysines en juillet 2014 et de Vallauris en 2014/2015. Pour la première résidence Max Charvolen a choisi de travailler dans l’espace urbain de la ville sur divers type de bâtiments (Publics et privés) en recouvrant de fragments de toiles collés des parties d’architectures telles que les accès aux bâtiments (seuils, façades...).

Pour la seconde résidence l’artiste a travaillé à l’intérieur des bâtiments (cage d’escalier...) et dans les appartements sur des espaces restreints comme la rencontre d‘une cloison avec un dormant de porte et son sol.
Par la suite les pièces ont été décollées, mises à plat, pour être présentées dans leur dernier état.


Vernissage le 8 octobre, exposition jusqu'au 31 octobre 2015
 
Galerie Depardieu - 6, rue du docteur Jacques Guidoni 06000 Nice - France
Tél. +33 0 966 890 274 galerie.depardieu@orange.fr www.galerie-depardieu.com

Montpellier : Drawing Room 015

La Ville de Montpellier accueille, au sein de La Panacée, centre de culture contemporaine, la 6e
édition de Drawing room, le salon du dessin contemporain de Montpellier, du 7 au 11 octobre 2015. Ce salon réunit douze galeries : 5 montpelliéraines, 2 parisiennes, et 5 du Grand Sud. Cette nouvelle édition accueille 3 nouvelles galeries parmi lesquelles Le 22 (Nice), Olivier Robert (Paris) et Snap Projects (Lyon).




Les galeries de Montpellier – art contemporain, association composée d’AL/MA, Aperto, chantiers -
BoîteNoire, Iconoscope et Galerie Vasistas, initie et organise Drawing Room, le salon du dessin
contemporain de Montpellier, depuis 2009. Pour cette nouvelle édition, un jury, composé de Franck
Bauchard, directeur artistique de La Panacée, Emmanuel Latreille, directeur du FRAC Languedoc-
Roussillon, et des directeurs des galeries AL/MA, Aperto, chantiers Boite Noire, Iconoscope, a sélectionné les galeries participantes.
En octobre 2015 le salon se déplace dans les espaces de La Panacée située dans le centre historique
de Montpellier et inaugurée en 2013. La Panacée offre environ 700m² d’espace d’exposition. A la
fois lieu d’exposition, d’expérimentation et de production, installée dans l’ancien Collège royal de
médecine rénové par la ville, structurée autour d’un patio paysagé, La Panacée accueille rencontres
et échanges entre différentes disciplines artistiques.
Le salon du dessin contemporain de Montpellier présente un programme complet et ouvert. Il est constitué d’un ensemble de projets curatoriaux proposé par les galeries sélectionnées et par plusieurs institutions.
Les 12 galeries participantes présentent quelque 47 artistes, dans 2 Solo Shows, et 10 accrochages. Une série de rendez-vous : conférences, soirées, projections, complète cette programmation qui s’inscrit dans la perspective d’une vision élargie du dessin, en développant des évènements visuels autour des nouvelles technologies, en accord avec la programmation de La Panacée. Cette manifestation est accompagnée par plusieurs institutions. Le FRAC Languedoc-Roussillon présente les dessins de Daniel Dezeuze. L’École supérieure des Beaux-Arts de Montpellier Méditerranée Métropole accueille un volet de l’exposition proposée par le commissaire d’exposition, Judicaël Lavrador ; l’autre partie de ce commissariat est présentée au sein du salon, à La Panacée.

Du 7 au 11 octobre 2015 de 13 h à 20 h — entrée libre
La Panacée — Centre de Culture Contemporaine - 14 rue de l’École de Pharmacie
www.drawingroom.fr
www.lapanacee.org
www.facebook.com/drawingroom015

Henri Cartier-Bresson à Nice

Dans la lignée des grands Maîtres de la Photographie, après August Sander, Kertesz, Brassaï, Henri Cartier-Bresson est l’un des plus grands photographes de notre temps.

Il est considéré comme un pionnier du photojournalisme allié à la photographie d'art. Il est souvent fait référence à lui sous les trois lettres HCB.
Avec Robert CAPA, David ‘Chim’ SEYMOUR, William VANDIVERT et George RODGER, il fonde en 1947 la célèbre agence coopérative Magnum Photos. En 2003, à l'âge de quatre-vingt-quinze ans (un an avant sa mort), une fondation portant son nom a été créée à Paris pour assurer la conservation de son œuvre ainsi que pour soutenir et exposer les photographes dont il se sentait proche.


Connu pour la précision au couperet et le graphisme de ses compositions (jamais recadrées au tirage), il s'est surtout illustré dans le reportage de rue, la représentation des aspects pittoresques ou significatifs de la vie quotidienne (Des Européens). Le concept de « l'instant décisif » est souvent utilisé à propos de ses photos, mais on peut l'estimer trop réducteur et préférer le concept de « tir photographique », qui prend le contexte en compte.

Figure mythique de la photographie du XXe siècle, que sa longévité lui permit de traverser, il a porté son regard sur les évènements majeurs qui ont jalonné son histoire. Un de ses biographes (Pierre Assouline) dit ainsi de lui qu'il était « l'œil du siècle ».

Cette exposition de 133 photographies noir et blanc est réalisée en collaboration avec Magnum Photos et la Fondation Henri Cartier-Bresson.

Du 9 octobre 2015 au 24 janvier 2016 
Vernissage > Jeudi 8 octobre 2015 à 19 heures

Théâtre de la Photographie et de l’Image - Charles Nègre
27, boulevard Dubouchage - Nice - 04 97 13 42 20 - www.tpi-nice.org

L'après-midi à la Villa Arson

4 octobre - 28 décembre 2015 - Vernissage le samedi 3 octobre à 18h

Julien Dubuisson, Ibai Hernandorena, Lidwine Prolonge et Jean-Charles de Quillacq
Commissariat : Mathieu Mercier




Cette exposition est un temps de restitution/confrontation des expériences autant individuelles que collectives de quatre artistes résidents à la Villa Arson, dans le cadre du programme de troisième cycle de la Villa Arson : 5/7 Pratique | Production | Exposition.
Mathieu Mercier, artiste et commissaire invité, met en lumière l’originalité propre de chacun, tout en tirant les fils qui les ont rapprochés tout au long de leur aventure commune de deux années. Chacun des artistes entretient notamment un rapport particulier à l’histoire, qu’il soit généalogique, culturel ou fictionnel. Leurs œuvres rejouent ainsi souvent des épisodes de la modernité dans le contexte contemporain.

Villa Arson - 20 Avenue Stephen Liégeard - Nice
http://www.villa-arson.org/2015/08/lapres-midi/

Journées d'étude au musée Fernand Léger

Journées d'étude ouvertes au public

Architecture et polychromie. L’intégration des arts au XXème siècle. Autour de la restauration de la façade principale du musée national Fernand Léger
En partenariat avec l’École nationale supérieure d’architecture Paris-Val de Seine (ENSA PVS)



Vendredi 2 octobre de 14h à 19h :

journée d’étude à l’ENSA Paris-Val de Seine 3 quai Panhard-et-Levassor 75013 Paris - Amphithéâtre 120. Programme : http://www.paris-valdeseine.archi.fr/actu/programme-polychromie2.pdf

Samedi 3 octobre de 14h30 à 18h :
visite au musée national Fernand Léger

14h30 : présentation du musée et de la restauration de la façade principale par Anne Dopffer, directrice des musées nationaux du XXème siècle des Alpes-Maritimes.
15h : visite commentée de l’exposition Fernand Léger, Au-delà du décor. Le roman d’une façade, consacrée à cette restauration par Anne Dopffer et Diana Gay, conservatrice au musée national Fernand Léger. 
16h30 : collation

Entrée gratuite sur réservation auprès de : visiteguide-06@culture.gouv.fr