samedi 28 décembre 2013

Richard Artschwager à Monaco

L’exposition rassemble plus de 135 oeuvres sur six décennies, comprenant des sculptures, peintures, dessins, photos et affiches.

Si son oeuvre a souvent été associée au pop art, au minimalisme et à l’art conceptuel, elle n’a jamais pu vraiment être classée dans l’une ou l’autre de ces catégories. Elle est restée au confluent de plusieurs
disciplines.

Son art a sans cesse exploré des questions sur son propre engagement visuel et physique par rapport au monde ; ses objets oscillent entre illusion et réalité.



L’exposition révèle la prescience de l’artiste au niveau de l’engagement qui a été le sien tout au long de sa carrière : explorer l’impact profond de la photographie et des technologies dans la transformation de notre regard sur le monde.

Son oeuvre a remis en question la manière dont ces médias - et notre perception des choses comme des images plutôt que des choses mêmes - ont modifié notre perception, ancrée initialement dans une apparence physique et primaire des objets, en une connaissance relayée par des sources secondaires comme les journaux, la télévision et l’Internet.



Le NMNM présente, dans les sept salles de la Villa Paloma, un parcours rétrospectif articulant différentes séries, allant des premières expérimentations faisant usage du Formica jusqu’aux dessins en passant par les peintures sur matériaux industriels et les pièces de mobilier. L’exposition, dans sa dernière version, est l’occasion de découvrir et mieux appréhender le travail de cet incontournable pionnier de l’art contemporain.

Rétrospective Richard Artschwager - Villa Paloma - Du 20 février au 11 mai 2014
www.nmnm.mc

KANAK

La culture Kanak est fondée sur l’oralité. Le langage est celui des mots, des proverbes, des chants, des contes, des gestes, du corps….
C’est le « discours » des commissaires, Emmanuel Kasarhérou et Roger Boulay.



Les mythes évoquent un temps où le Verbe possédait le pouvoir de créer. Nommer, invoquer à haute voix, éveille le monde qui nous entoure et signale la présence des vivants au monde invisible qu’ils côtoient.

La Parole est l’expression du souffle vital qui anime chaque homme. Comme nos pensées, elle prend naissance dans un ventre et utilise l’air pour se révéler et se répandre. Elle peut être douée de légèreté, de joie et lourde de ses peines. Elle peut aussi se rétracter sur elle-même en concentrant de plus en plus sa force. Elle peut alors servir d’arme dans la bouche de celui qui l’utilise. La Parole tue comme elle crée.



Tout est affaire de sagesse et de clairvoyance que les ancêtres inspirent lors des rêves ou qu’ils révèlent par des signes que le sage peut interpréter. C’est l’expérience de la vie et les enseignements reçus qui permettent aux anciens de guider le chef, de lui enseigner les paroles à dire en public, les noms des puissances du clan à invoquer dans ses discours, et les noms des alliés et de leurs puissances tutélaires qu’il devra mentionner à l’occasion des grands rassemblements. Le chef exprime la Parole de tous et relie les hommes au temps des origines.

KANAK - L’Art est une parole, jusqu’au 26 janvier au Musée du Quai Branly


Etaient présentes Simone Dibo-Cohen et Célia Mores

mardi 24 décembre 2013

Richard Aujard – Bandes à part.

“La sophistication me met mal à l’aise, j’aime à la fois la force et les fêlures chez les êtres ».
Béatrice Dalle, Monica Bellucci, Joeystarr, Mickey Rourke, Eric Cantona, Jake Lamotta «the Raging Bull», Mike Tyson… Quel est le dénominateur commun de ces artistes ? Un photographe de talent, Richard Aujard.
Mais cet artiste ne recherche pas que la beauté et le glamour ; il saisit aussi l’instant et la réalité, la vraie.
Des studios Vogue où il a commencé comme assistant à l’âge de 19 ans à la Mongolie et au Mexique en passant par les rings de boxe de Las Vegas et le milieu des bikers le photographe déploie tout son talent.
Variées mais toujours fortes, les émotions nous envahissent face à ses clichés : on est saisi par le désarroi d’un enfant en détresse, heurté par la violence d’un combat de boxe ou simplement admiratif devant une jolie femme chevauchant un chopper.

Mickey Rourke

En effet, pour chacun des sujets qu’il traite, Richard Aujard change de vie et s’adapte à un nouvel environnement. Pendant de longues années, il est partagé entre les deux milieux parfaitement opposés que sont la mode et la boxe. Mais sa soif de voyage et sa curiosité naturelle l’incitent à partir à l’aventure. Ainsi, sans délaisser ses premières amours, il va vivre le «Free wheels» au coté des Hells Angels, passer des mois dans des réserves indiennes d’Amérique du Nord, partager le quotidien des cowboys mexicains «Charros», rencontrer la Mafia Mongole ou encore s’engager avec Actions Contre la Faim.

La quarantaine de photographies qui seront présentées à la Galerie Laurent Strouk du 10 au 29 janvier 2014, retracent 30 années de travail à la recherche de l’équilibre entre glamour et authenticité.

GALERIE LAURENT STROUK
 - 2 avenue Matignon F-75008 Paris
 - tél. 01 40 46 89 06 | galerie@laurentstrouk.com
 ouvert de 10h30 à 19h du lundi au samedi

La Galerie Ferrero donne 853 oeuvres à la ville de Nice

Le conseil municipal de la ville de Nice a approuvé lundi à l'unanimité la donation d'une importante collection d'oeuvres d'art -estimée à 2,5 M EUR- appartenant au galeriste Jean Ferrero, comprenant notamment des dizaines d'oeuvres d'Arman, César et Ben, entre autres artistes de l'"Ecole de Nice".

"Cette collection représente un intérêt historique certain pour la connaissance de l'histoire de l'Ecole de Nice et ce seul motif justifie que la Ville l'accepte", a estimé le maire Christian Estrosi, rendant hommage à Jean Ferrero, "acteur important de la vie artistique niçoise des cinquante dernières années".


Le galeriste Jean Ferrero, aujourd'hui âgé de 83 ans, a fait don à la ville de 48 oeuvres d'Arman, 37 de César, 33 de Ben notamment. L'ensemble de ces oeuvres sera exposé dans l'ex-Forum de l'urbanisme de Nice, au coeur de la vieille ville.

Parmi les oeuvres données, dont la valeur a été estimée par un cabinet d'experts parisien, L'"Estafette" de Ben, véhicule-musée dans lequel l'artiste a longtemps sillonné les rues de la ville dans les années 1970-1980, ou encore "Le Concerto de Pékin", seule oeuvre réalisée en Chine et en direct par Arman.

Jean Ferrero avait notamment émis comme conditions pour cette donation que les oeuvres soient "exposées au public à Nice dans un lieu dédié" et qu'elles ne puissent être ni dissociées, ni commercialisées.

"Mon rêve était de faire ce musée, un lieu où l'on puisse faire beaucoup d'expos autour de '60 ans de salades niçoises'", a plaisanté l'ancien galeriste, interrogé au téléphone par l'AFP. Cette collection a cependant été mal évaluée par les experts et vaudrait "plutôt autour de 4 à 5 millions d'euros", a-t-il assuré.
Source : http://culturebox.francetvinfo.fr/

Le retour d’Ultra Violet


Solfie : vernissage samedi 18 janvier 2014 à partir de 16h en présence de l’artiste. Exposition jusqu’au 8 février 2014

Selfie Blue Green
La Galerie Depardieu, "hors les murs" - 18 avenue des fleurs 06000 Nice

"Réminiscence" de Kevin DELANNE au Festival Nikon



"Réminiscence" de Kevin DELANNE au Festival Nikon, un des films les plus soutenus et des plus vus ! Kevin DELANNE, jeune réalisateur de Monaco, participe à la 4ème Édition du Festival Nikon dont le thème de cette année est "je suis un souvenir".

Ancien élève de l'Esra de Nice, Kevin DELANNE écrit, réalise (« Le Silence », « La notte », « From the inside ») participe à de nombreux projets dans la région niçoise (« Syndrom », « La Notte », « Enjeu » de Laurent Hechim, « Now air » et « Zezolla » de Nicolas Avrand, et du clip "Sometimes" du groupe Miss America..., etc… ) et venant d'obtenir tout juste 25 ans (et du haut de ses 2m05), il enseigne déjà à l’école Française de l'Audiovisuel de Nice. 



En apprenant le thème de cette édition du Festival Nikon, Kevin DELANNE saute sur l'occasion pour exploiter un de ses thèmes de prédilection : "En repensant au mythe de Frankenstein, je me suis dit que je pouvais le lier à ma conception du souvenir, et de la vulnérabilité des Hommes et en même temps rappeler un thème récurrent dans la littérature : l'homme qui veut défier Dieu."

Il s'entoure de talentueux jeunes professionnels de la région et crée "Réminiscence", un film de 140 secondes dont l'esthétique rappel de très près les vieux films de science-fiction.  Un "court" qui en dit "long"...

Le maquillage des comédiens a nécessité plus de 3 heures de travail et l'éclairage s'inspire du cinéma expressionniste allemand des années 30.

La musique est une composition originale acoustique stridente faussement joyeuse qui traduit la fatalité de la scène : « C’est comme un bonbon pour le scientifique, ça lui fait du bien sur le moment mais il sait très bien que cela ne va pas durer ». La mise en scène est classique, directe, efficace, tout en restant dans le domaine "expérimentale".
Vous pouvez soutenir ce film : http://www.festivalnikon.fr/video/2013/1406 

vendredi 13 décembre 2013

Dernier vernissage du cycle Jean Moulin

C’est hier soir à la Barclays de Cagnes-sur-Mer qu’a eu lieu le dernier vernissage du cycle « Hommage à Jean Moulin » organisé par l’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne. A cette occasion le sénateur-maire Louis Nègre a signalé les liens qui unissaient ses concitoyens avec la création contemporaine et s’est félicité de l’installation de la prochaine biennale de l’UMAM au château-musée Grimaldi l’été prochain.

Le sénateur-maire Louis Nègre 
La présidente Simone Dibo-Cohen a annoncé l’ouverture de cette biennale le 6 juin 2014 et a rappelé les liens qui unissaient Jean Moulin à l’UMAM ; en effet les parrains fondateurs de l’UMAM furent Henri Matisse et Pierre Bonnard, amis de Jean Moulin, et premiers à être exposés à la galerie Romanin de Nice. A signaler que pour cette biennale, l’UMAM décernera un prix Jean Moulin à un jeune artiste contemporain.

Toutes les expositions à Nice, Cannes, Menton, Fréjus et bien sûr Cagnes-sur-Mer sont visibles jusqu’au mois d’avril.

mardi 10 décembre 2013

Dernier vernissage des expositions du cycle Hommage à Jean Moulin.

C’est ce jeudi 12 décembre que va avoir lieu le vernissage de la sixième exposition qui clôt cet hommage à Jean Moulin par des artistes contemporains. Il se déroulera à la Barclays à 18 heures au 63 boulevard du Maréchal Juin à Cagnes-sur-Mer. Vous pourrez y découvrir les créations d’Alain Pontarelli, Peter Larsen, Claudie Poinsard, Henri Baviera, Sonia Grdovic, Michel Nizio, Roxane Petitier, Caroline Ziolko.


Le succès de ces expositions a déjà réuni plusieurs centaines de visiteurs et plus de quarante artistes, et la présidente Simone Dibo-Cohen et son conseil d’administration ont décidé de les laisser en place jusqu’au mois d’avril 2014. En effet, outre la quarantaine d’artistes exposés à Nice, chez Vision Future et à la Barclays, on peut découvrir les créations dans d’autres villes :

- A la Barclays de Fréjus : Henri Baviera, Florence Guillemot, Kayetan, Laure Mathieu, Claudie Poinsard, Jo Van Der Zijden, Caroline Ziolko, Alain Pontarelli.

- A la Barclays de Menton : Anne Gérard, Frédérique Nalbandian, Martin Caminiti, Miryan Klein.

- A la Barclays de Cannes : Laure Mathieu, Bernard Taride, Miryan Klein, Caroline Ziolko.

Si l’UMAM a choisi de clore ce cycle exceptionnel à Cagnes-sur-Mer, c’est parce que c’est dans cette même ville, en juin prochain, qu’aura lieu la célèbre biennale d’art contemporain au château-musée Grimaldi.

Christian Gallo - © Le Ficanas ®

vendredi 6 décembre 2013

CHUBAC aux Ponchettes


Du 3 décembre 2013 au 9 février 2014, la Galerie municipale des Ponchettes à Nice propose une exposition d’œuvres d’Albert Chubac appartenant à la collection du Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de la Ville de Nice.

L’occasion de (re)découvrir une sélection de 60 peintures, sculptures, bas reliefs et collages faisant partie de la donation que l’artiste consentit à la Ville de Nice pour son musée d’Art moderne et d’Art contemporain en 2004.

Sans titre - Bois peint 98 x 45 x 7 cm
Donation de l'artiste en 2004 - Collection Mamac, Nice, inv. : 2004.1.24
Photo : Muriel Anssens/Ville de Nice - © Adagp, Paris, 2013

Le Mamac ayant présenté cette donation d’une centaine d'œuvres du 29 janvier au 16 mai 2004, devint ainsi le pôle de référence pour l’œuvre de l’artiste en France.

Albert Chubac est né en 1925 à Genève. A seize ans, il entre à l'Ecole des Arts Décoratifs de Nice puis en 1945 à l'Ecole des Beaux-Arts. A la fin de ses études, grâce à l'obtention d'une bourse, il séjourne un an en Algérie et voyage en Italie, Espagne, Grèce, Egypte et finit par s'installer à Nice. Sa première exposition à lieu à Athènes en 1949. Durant ces années, son œuvre subit successivement les influences de Bonnard, Dufy et Matisse. En 1950, il rencontre Nicolas de Staël qui aura une grande influence sur son travail. En Egypte, un riche prince l'accueille dans sa maison, il visite les pyramides à dos d'âne, découvre les fresques de la Vallée des Rois... Les grands aplats de couleur vont le marquer.

Dès les premières peintures, proches de l’abstraction, il utilise un registre de couleurs primaires qu’il applique ensuite aux sculptures de bois, « modifiables », dont le principe permet aux spectateurs d’intervertir les éléments ; il explore dans une nouvelle période les ressources lumineuses du plexiglas coloré.

En 1952, il achète une maison à Aspremont dans les Alpes-Maritimes un cabanon sans eau ni électricité où il vit et travaille. D'une rencontre avec un collectionneur américain qui lui achète de nombreuses œuvres, naît une exposition aux Etats-Unis. Il est alors le premier artiste de l'Ecole de Nice à y exposer. De retour à Nice, il rencontre : Martial Raysse, Claude Gilli, Ben, Marcel Alocco, Serge III, Bernar Venet.

A partir de 1958, il délaisse les influences classiques pour se préoccuper de l'objet et réalise des sculptures en fil de fer et boîtes de conserves. Découvrant chez les boutiquiers du Vieux-Nice, des bâtonnets de bois et pigments de couleur, son œuvre trouve alors son expression définitive dans un esprit à mi-chemin entre le constructivisme et l'abstraction géométrique emprunt d'un esprit ludique et poétique. Albert Chubac décède à Tourrette-Levens en 2008.

Galerie des Ponchettes - 77 quai des Etats-Unis - Nice - 04 93 62 31 24

jeudi 5 décembre 2013

Le nouveau numéro de « Lou Can » arrive.

Le sommaire de ce quatrième numéro est le suivant :

I. Le Niçois et le Papou, par Jérémy Taburchi

II. Sophie Taam, Rêve-veille Space Time

III. Aazclairicia, F(x)=g(x)manifeste…

IV. Le futurisme chez les dindons, par Martin Caminiti

V. Sacha Sosno : Mais quel temps fera-t-il demain ?

VI. Peter Larsen, à propos du marque-page joint à la revue

VII. Plan B, l’alternative photographique de Rémy Saglier

VIII. Olympia Alberti, Où est le futur ?

IX. Le vacarme gagne, un poème de Gilbert Casula

X. Stéphane Renaud : Notre Futur

XI. Carl Keven-Korb, De ces douces organisations névrotiques

XII. No future / No limit, les utopies de Roxane Petitier

XIII. Traversée du futur, un texte d’Elisabeth Morcellet

XIV. Christophe Esnault, Gynoïde pleasure


Il sera présenté au public par Jérémy Taburchi à l’atelier Franck Michel, la nouvelle galerie d’art contemporain de la rue Ségurane à Nice, le vendredi 13 décembre à partir de 17h30. Outre la présence des auteurs, Jérémy entreprendra une performance ésotérique en compagnie de la mystérieuse Eve Carton. Les acheteurs de la revue partiront avec une création futuriste de Peter Larsen.

Pour en savoir plus : info@lou-can.fr / www.lou-can.fr / 06 20 59 77 31

lundi 25 novembre 2013

80 ans du Centre Universitaire Méditerranéen

Cette année, la Ville de Nice célèbre le 80e anniversaire du Centre Universitaire Méditerranéen (CUM). A cette occasion, le Colloque Passion Méditerranée sera entièrement consacré au C.U.M. qui reçut et continue de recevoir les esprits les plus brillants de notre temps. Pendant deux jours - les 29 et 30 novembre 2013 - sont organisées des conférences et tables rondes au sujet de l’histoire de cette prestigieuse institution, unique en son genre, de Paul Valéry, de la Méditerranée et de la littérature.


Sont attendus :

Gabriel de Broglie, Chancelier de l’Institut de France, membre de l’Académie française et de l’Académie des sciences morales et politiques.

Michel Déon, de l’Académie française, écrivain.

Dominique Fernandez, de l’Académie française, écrivain.

Michel Jarrety, professeur à la Sorbonne, biographe de Paul Valéry.

Alban Cerisier, archiviste, secrétaire général des Editions Gallimard.

Ralph Schor, historien, professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université de Nice-Sophia Antipolis.

Yvan Gastaut, historien, maître de conférences à l'Université de Nice Sophia-Antipolis.

Jean-François Colosimo, essayiste, ancien président du Centre national du livre, président du directoire des Editions du Cerf.

Christian Loubet, conférencier et professeur honoraire en histoire des mentalités et de l’art moderne à l’Université de Nice-Sophia Antipolis.

Alain Finkielkraut, philosophe et écrivain.

Jean-François Hangouët, collectionneur, biographe de Romain Gary.

Sandrine Arnold Folpini, administrateur de la Fondation Dosne-Thiers.

Eric Naulleau, auteur, critique littéraire.

L’année 1933 est décisive pour le C.U.M. Elle marque sa création politique et administrative avec l’action combinée de deux hommes : le maire de Nice, Jean Médecin, et le ministre de l’Education Nationale, Anatole de Monzie. C’est ce dernier qui proposera à Jean Médecin de nommer un Administrateur pour le Centre de Nice. Il proposera Paul Valéry.

« Marche le long du râle lent de houle faible qui heurte, aborde les galets. Marche et pensée. La pensée presse le pas. S’arrête. Repart… » Paul Valéry, Nice, 6 décembre 1936

Une exposition autour d’archives et de photos anciennes sera présentée dans les salons du CUM du 25 au 30 novembre.

Informations : 04 97 13 46 10 / www.cum-nice.org