jeudi 24 août 2017

Inventeurs d'aventures - premier épisode - Friche la Belle de Mai, à Marseille



Inventeurs d'aventures - premier épisode

Exposition collective

Lieu : La Tour-Panorama, 4e étage de la Tour
Une proposition de L'École(s) du Sud, le réseau des écoles supérieures d'art de la Région PACA et de Monaco

Tandis que la section Show Room du salon Art-O-Rama est dédiée à la présentation de 4 jeunes artistes diplômés d'écoles d'art de la Région (François Bellabas, Alice Guittard, Eva Medin et Delphine Wibaux), le réseau L'École(s) du Sud présente, également sous le commissariat de Gaël Charbau, le travail d'une vingtaine de jeunes artistes diplômés des écoles d'art de Nice, Arles, Marseille, Aix-en-Provence, Toulon, Avignon et Monaco.

Inventeurs d'Aventures est une programmation qui mêle expositions, colloques, performances, conférences, lectures et workshops, avec pour ambition de faire découvrir au public le rayonnement, le dynamisme et la richesse de la recherche artistique en Méditerranée. Après un appel à candidature lancé auprès d'anciens diplômés des sept écoles supérieures d'art du sud, près d'une cinquantaine d'artistes ont été sélectionnés par le commissaire et invités à participer au programme.
«Fin des utopies, fin des avant-gardes, fin des grands récits… l'histoire actuelle de l'art a commencé par un grand tomber de rideau. Dans ce paysage de ruines éclatantes, être “un artiste”, c'est d'abord surmonter tout ce qui devrait naturellement incliner à ne pas ajouter un objet de plus, dans un monde qui en compte déjà beaucoup. Et si l'artiste le fait, c'est sans aucun doute que quelque chose au fond de lui le porte encore à croire que tous les chemins n'ont pas été explorés, que tous les horizons ne sont pas encore éteints. Ces artistes, ces inventeurs d'aventures, sont-ils les derniers héros ou les dernières “figures déchues” de notre civilisation qui peine à raconter sa propre histoire?
 
Premier épisode explore à la Friche les pratiques artistiques d'un récit contemporain qui se nourrit des histoires microscopiques, intimes, parfois même familiales, jusqu'aux récits collectifs qui fédèrent les passions et les émancipations, en passant par les récits médiatiques qui rythment le quotidien de notre société. Organisée comme les pages d'une histoire sans progression, sans début ni fin, l'exposition se parcourt comme les pages d'un journal ou d'un magazine dont on aurait oblitéré le sommaire. »
Gaël Charbau

Bon à savoir

  • le 25 août à 18h30 : Performance de Jedrezj Cichosz

Les artistes

Chloé ANGIOLINI & Elodie CASTALDO (aka La Balnéaire)
Jeanne BERBINAU AUBRY
Claire CAMOUS
Maxime CHEVALLIER
Jedrzej CICHOSZ
Sylvain COUZINET-JACQUES
Bobby DOLLAR
Samuel GRATACAP
Jérôme GRIVEL
Pauline HISBACQ
Aurélie JACQUET
Emilie MARCHAND
Celine MARIN 
Louis MATTON
Benoit PAYAN
Emilie PUGNOT
Maëlys REBUTTINI
Grégory RICOUX
Sergio VALENZUELA

l'Ecole(s) du Sud
Les « Écoles supérieures d'art » membres de l'Ecole(s) du Sud sont des établissements publics d'enseignement supérieurs artistiques qui dispensent des diplômes nationaux du ministère de la Culture en art et en design de premier et deuxième cycles (valant grade de master). Elles développent des programmes de recherche de 3e cycle.

La région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la principauté de Monaco comptent 7 écoles, faisant de ce territoire l'un des plus riches en matière d'enseignement public artistique : Villa Arson, Nice / ENSP, Arles / ESADMM, Marseille / ESAAix, Aix-en-Provence / ESADTPM, Toulon / ESA, Avignon / Pavillon Bosio, Monaco

American Gallery, Marseille : Ronald Cornelissen et Paul van der Eerden


Dans le cadre de la Saison du Dessin : Août - Décembre à Marseille, vernissage de l'exposition "Waiting for Bardot" le dimanche 27 août, 14-18h



Ronald Cornelissen, Waiting for Bardot - Ink, pencil, sepia and watercolor on paper – 110 x 75 cm – 2012

Paul van der Eerden, 2016 (020) untitled, pencil, colour-pencil, gouache 297x210 mm


Retour sur une visite annoncée à la Biennale de Venise, édition 2017…..



Comme tous les deux ans, parce que j’aime l’art, je me rends à la Biennale de Venise. En cette année 2017, il était donc normal de m’y retrouver.

Contrairement aux éditions précédentes, l’opus 2017 est décevant. Heureusement il reste la beauté intemporelle, immuable de Venise. Toutes les petites expositions parallèles à la Biennale qui font de Venise le centre incontournable de l’art.

Aux Giardini seuls les Pavillons Allemand, Français et Russe font exception et le Pavillon Italien à l’Arsenal.

Pour les Pavillons Allemand et Français, encore faut-il tomber au bon moment, c’est à dire au moment de la performance, puisque c’est de cela qu’il s’agit pour ces deux Pavillons. Malheureusement, aucune information n’est mentionnée pour vous informer de l’heure à laquelle elles se déroulent. Donc si vous n’êtes pas présent au moment opportun : « circulez y a rien à voir…».

Le pavillon Italien met en scène une belle installation, dotée d’un message fort, bien que légèrement morbide (cf. Les photos ci-dessous, même si ces dernières sont malheureusement peu représentatives) mais je ne m’en plaindrai pas puisque j'affectionne particulièrement ce type d’art.




Parmi les expositions attenantes à la Biennale, les plus intéressantes sont celles de Murano, de la Fondation Louis Vuitton, la Fondation Prada, Venice Design 2017, Personal Strutures, David Lachapelle (île de la Giudecca), le Palazzo Franchetti, le Palazzo Fortuny, le Palazzo Grassi, la Punta della dogana, Jan Fabre, Pistoletto (île de San Georgio)…

J’ai plus particulièrement apprécié celles du Palazzo Fortuny, du Palazzo Grassi et de la Punta della dogana.

Au Palazzo Fortuny (magnifique palais), sous le nom « Intuition » étaient exposés de nombreux artistes. il s’agissait plus d’une question d’ambiance que d'oeuvres présentées même si celles -ci
étaient de très grande qualité. Au dernier étage, les visiteurs pouvaient eux-même participer à l'élaboration d’une oeuvre. Quelques photos sont là pour corroborer mes propos même si transmettre l’ambiance, soit l’impact d’une installation en photographies n’est pas chose aisée.


Au Palazzo Grassi et à la Punta della dogana, est présenté Damien Hirst. En dehors de la beauté des lieux en eux-même, je dois avouer avoir pris une vraie claque. L'exposition «Treasures from the Wreck or the Unbelievable », est à couper le souffle… S’y trouve mêlé modernité, « art ancien » et mythologie.





Mention particulière pour Evan Penny dont les oeuvres (en cire) mais criantes de vérité étaient présentées dans une église proche du Palazzo Grassi!
Jugez par vous-même…..






Venise incontournable…

Celia Mores,
Docteur en Neurosciences et amatrice d’art

mercredi 16 août 2017

Nouveautés à l'Opiom Galérie, Opio - Ben Zank

 

BEN ZANK - Œuvres Récentes 

Bien qu’ayant suivi des études en journalisme, Ben Zank trouve rapidement en la photographie un moyen d’expression bien plus efficace. Sa découverte d’un Pentax ME Super dans le grenier de sa grand-mère fut le point de départ pour cette passion quasi obsessionnelle. Se soumettant au rigoureux exercice de création d’une photo par jour, il se met le plus souvent en scène lui-même pour des motifs de convenance. 

I AM NOBODY (DAILY COMMUTE), 2017

RUST, 2017

THE STIGMA, 2016

PATTERN, 2017


PAUL ZAIKOVICH, 2017


Plus d'infos:  http://www.opiomgallery.com