mardi 30 août 2016

Le film de la plus grande exposition d’art contemporain de l’été de la Côte d’Azur

Parmi les 15 expositions d’art contemporain qu’organise l’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne à l’occasion des soixante-dix ans de sa fondation, la plus impressionnante se situe à Menton. Elle fermera ses portes le 28 septembre prochain.

Fidèle à ses parrains fondateurs Henri Matisse et Pierre Bonnard et aux critères qu’ils ont imposés à l’UMAM, c’est un mélange d’artistes d’une célébrité internationale et de jeunes créateurs au talent exceptionnel. Plus de cinquante artistes présentent plus de cent œuvres inédites.

Ces œuvres on peut les retrouver au Palais de Carnolès, le musée des beaux-arts de Menton, dans les jardins Biovès, sur le parvis du musée Jean-Cocteau et sur l’esplanade Francis Palmero, face à la mer.

Des milliers de visiteurs se sont précipités depuis le 5 juin dernier, mais peut-être la distance vous a empêché de vous y rendre. Nous vous proposons de vous promener dans cette exposition au travers d’un film réalisé le jour de son inauguration où le maire Jean-Claude Guibal et la présidente de l’UMAM, Simone Dibo-Cohen rencontraient les artistes et leurs œuvres. Bonne visite (le film réalisé par Pixel Communication dure 35 minutes), et si vous êtes sur la Côte, tout est encore en place. N’hésitez pas



samedi 13 août 2016

Succès du vernissage de l'UMAM à Aspremont.


Pas évident d’organiser une exposition d’art contemporain à la veille d’un pont férié ! Mais le succès a été au rendez-vous grâce à la volonté de Simone Dibo-Cohen, la présidente de l’UMAM et à la municipalité d’Aspremont dans un lieu magique.
Nous avons déjà publié les œuvres des artistes de grand talent, voici donc les artistes tous présent et les nombreux visiteurs venus pour cette exposition. Mais l’UMAM continue à fêter les soixante-dix ans de sa fondation par d’autres manifestations.
Alors quelques vues du public et des artistes. L’exposition est ouverte jusqu’au 11 septembre de 14h30 à 18h30 avec les œuvres de Marc Alberghina, Gérard Haton-Gauthier, Jacqueline Matteoda, Béatriz Moreno, Jonathan Ribeiro et Dan You .







jeudi 11 août 2016

C'EST DEMAIN A 19 HEURES

Avant-dernière exposition des 70 ans de la fondation de l'UMAM
fondée sous le parrainage de Matisse et Bonnard en 1946.


Chapelle des Pénitents Blancs d'Aspremont
Avec les œuvres de Marc Alberghina, Gérard Haton-Gauthier, Jacqueline Matteoda, Béatriz Moreno, Jonathan Ribeiro et Dan You 


Via M14 : 27 minutes
Via M914 et M14 : 29 minutes
Via Avenue de Rimiez et M14 : 33 minutes
Par l'autoroute :
- sortie St Isidore,  puis route de Grenoble (direction Digne), enfin tournez à droite direction Colomars.
- sortie Nice-Nord, puis direction Gairaud et M14.
 


mercredi 10 août 2016

Dan You - UMAM 70 ans - Aspremont

Œuvres Numériques, peintures acryliques et fusains ou encore résines pour ses sculptures Extensions.

Plus que jamais, Daniel You affirme son style dans le métissage des techniques qu’il utilise afin de dessiner, peindre, modeler et sculpter les êtres et les choses tels qu’il les ressent.


Exposition du  13 août au 11 septembre (mercredi, samedi, dimanche 14h30-18h30)
Chapelle des Pénitents Blancs à ASPREMONT
VERNISSAGE : vendredi 12 août à 19 heures.

Marc Alberghina - UMAM 70 ans - Aspremont


Séduire et horrifier

La déchéance du goût, du style, du savoir-faire, qui caractérise la production mercantile actuelle de Vallauris, lieu-symbole où Marc Alberghina a choisi de s’établir, est devenue, aussi paradoxal qu’il puisse paraître, l’un de ses sujets de réflexion privilégiés. Les artistes-potiers au talent inspiré et à la forte personnalité – actifs dès les années 40 dans ce village qui était alors un lieu de villégiature méditerranéenne et de création artisanale liée à une tradition de poteries utilitaires – ont été supplantés progressivement à partir des années 70 par d’autres qui, obsédés par le commerce et sous la pression des lois du tourisme de masse, ont vite appliqué les règles du «vite fait, mal fait» au plus bas prix, au détriment d’une expression personnelle novatrice, nécessairement plus dérangeante. La position volontariste de résister à cet état de fait en le contestant de l’intérieur est assumée aujourd’hui par Marc Alberghina, avec panache. Loin de lui l’envie de déclarer la guerre à sa communauté, mais plutôt celle de témoigner de ce qui a été et de ce qui n’est plus en rejouant, avec la distance calculée d’une technique très maîtrisée, les codes de cette décadence inéluctable – les émaux trop immédiatement faits pour épater, le clinquant des dorures surabondantes, les formes dites « libres » sous prétexte qu’elles sont déstructurées, ramollies et d’un baroquisme débridé – afin de faire collectivement réfléchir et tenter de reconstruire sur les décombres.


Avec opiniâtreté, Marc Alberghina construit jour après jour un art de la polémique des plus exigeants, position très peu explorée dans la céramique française actuelle, mais qui n’est cependant pas sans lien de filiation possible. Pour exemple, depuis les années 70, d’abord en terre puis avec du béton teinté, le sculpteur-céramiste Pierre Baey a construit une œuvre de premier ordre mêlant le païen et le sacré, avec une insolence et un sens de la provocation visuelle qui pourraient être comparés. Plus sûrement encore, Marc Alberghina peut trouver ses alliés d’expression dans la lame de fond que fut la figuration à visées politiques qui s’est imposée aux Etats-Unis à la fin des années 60, principalement sur la côte Ouest où de grands sculpteurs-céramistes de la Funk Generation, tels que Robert Arneson et Richard Notkin, ont su constituer une vision critique décapante de notre société basée sur l’idolâtrie, le cynisme et la surconsommation.

Les récentes œuvres de Marc Alberghina constituent un savant jeu de mise en scène de l’inconscient collectif, tant elles arrivent à faire surgir – à « manifester » – les non-dits, les travers paranoïaques ou schizophréniques de l’être humain. Une série de trois bustes somptueux aborde le thème de l’autoportrait, mais présenté dans une situation de camouflage, le visage étant dérobé à la vue et comme équipé pour aller au-devant d’un danger : ces bustes, moulés très classiquement en biscuit de faïence avec des piédouches richement émaillés, ont en effet leur face «oblitérée» par un grand ovale plat occultant les traits du visage (en référence peut-être aux célèbres Oblitérations du sculpteur Sacha Sosno). Cette forme-miroir étrange – parce qu’opaque – paraît là également pour étouffer un cri : on imagine en son revers une expression faciale décomposée par l’effroi, à la manière des si singulières Têtes de caractères grimaçantes qui furent sculptées au XVIIIème siècle par l’autrichien Franz-Xaver Messerschmidt. Cet effacement volontaire de soi est à considérer moins comme un jeu de mascarade que comme la nécessaire imposition d’un bouclier, d’un pare-choc protégeant l’artiste des éventuels regards réprobateurs ou inquisiteurs, voire des quolibets, crachats ou projectiles de toutes sortes, auxquels il semble s’attendre et, en conséquence, se préparer. En interposant ainsi entre lui-même et la vindicte populaire cette sorte de plaque-écritoire, pouvant faire office de cahier de doléances ou de «livre d’or» à vertu cathartique, l’artiste s’érige manifestement en bouc-émissaire. Autre indicateur d’une tension dramatique extrême, sur chacun de ces portraits en bustes, un cœur-organe couvert d’émaux flammés vient se greffer au torse tel un bijou-projectile, terrible et sanguinolent comme s’il venait d’être fraîchement extirpé du corps humain… De tels dispositifs métaphorisent l’artiste en cible émouvante, et cette théâtralité abstraite met en exergue un rapport ambivalent devenu le fil rouge de l’œuvre entière : un désir d’exposition/exhibition de soi contrarié par la volonté farouche du retranchement, du repli. Dans la spectaculaire trilogie des Saint Sébastien, c’est son corps entier que Marc Alberghina offre maintenant symboliquement en pâture, qu’il moule en positions renversées, d’abord en arrière puis replié en avant, décapité ou bien le visage zippé recouvert d’un capuchon. Il endosse – au sens littéral – les positions du saint-martyr et du soldat combattant, ployant sous les jets d’organes sanglants cette fois lancés en rafale, se présentant en cible idéale pour le ressentiment et le défoulement collectif. Il faut rappeler, à ce moment précis, qu’une des œuvres de l’artiste avait été volontairement détruite par un visiteur resté anonyme, il y a de cela quelques années, lors d’une exposition-biennale à Vallauris…

Tout en surfant en conscience sur un excès de sensationnalisme, Marc Alberghina adopte une esthétique qui pourrait être qualifiée de « décadente » si elle n’était pas aussi cultivée, emplie de références iconographiques à l’art ancien – celles des ex-voto, des vanités, ou de la figure du martyr, parmi d’autres – et imprégnée des textes et rituels de la religion catholique. Sachant parfaitement trouver sa place aux cœurs des représentations et des enjeux de l’art actuel, il sait mieux que personne flirter également avec les réminiscences kitsch, sans pour autant tomber au creux d’une vague qu’il s’applique au contraire à dénoncer. Grâce à l’élégance visuelle et au sens aiguë de la narration qui le caractérisent, il évite toujours « sur le fil » les écueils du scabreux ou du racolage facile. Il sait tenir admirablement le regardeur (le voyeur ?) en alerte – pour ne pas dire en haleine – par sa façon très personnelle de fixer les sensations physiques et les sentiments humains en formes sculpturales, aussi directement assimilables par l’œil contemporain qu’un arrêt sur image en provenance du zapping télévisuel. Parce qu’elle témoignent d’un imaginaire héroïque plongeant au cœur des mythes de l’humanité, ses sculptures semblent en effet résulter d’actions brutales de performances venant tout juste de se dérouler en direct sous nos yeux, qui nous auraient laissées pantois ou offusqués, et nous obligeraient par là-même à sortir de notre habituelle léthargie pour réagir, pour ou contre. Les performances d’artistes conceptuels tels que Marina Abramovic ou Jan Fabre – explorant les mêmes territoires extrêmes de la violence physique, prêts à mettre leur vie en danger pour faire éprouver à leur auditoire le dénuement du corps, révéler l’instinct de mort en tout un chacun, faire ressentir aussi le « frisson » de la vie, dans toute sa sauvagerie animale – doivent avoir sans doute retenu l’attention de Marc Alberghina, et l’inspirer dans sa pratique sculpturale.

Il faut certes avoir une certaine sensibilité au macabre – ou du moins à la beauté convulsive – pour apprécier des œuvres explorant ainsi, sans concession, les désordres physiologiques ou psychologiques de l’être : la fragilité, la peur de la mort, la menace de l’anéantissement pèsent constamment sur ces représentations du corps fragmenté, lorsque celui-ci n’est pas déjà réduit à l’ossuaire, comme dans L’Usine ou dans Cycle… Avec chaque fois plus de virtuosité et de contrôle des effets, Marc Alberghina déploie dans l’espace des figures fantomatiques pétries par la véhémence de sa rébellion contre les hypocrisies et les intolérances, mais façonnées également par les forces obscures de la dépression collective qui, telle une ombre portée, nous tirent tous vers le bas. Une confusion des sentiments s’installe durablement à la vision de cette œuvre fertile et éprouvante, subtile métaphore de nos combats intérieurs. Un concentré du Paradis et de l’Enfer, en somme…

Frédéric Bodet

Exposition du  13 août au 11 septembre (mercredi, samedi, dimanche 14h30-18h30)
Chapelle des Pénitents Blancs à ASPREMONT
VERNISSAGE : vendredi 12 août à 19 heures.

Jacqueline Matteoda - UMAM 70 ans - Aspremont

Être ouvert à tout ce qui vous entoure, avoir la perception de l'exceptionnel fait que l'on rencontre des objets, des matières, souvent rejetés et tout devient évident ...




Exposition du  13 août au 11 septembre (mercredi, samedi, dimanche 14h30-18h30)
Chapelle des Pénitents Blancs à ASPREMONT
VERNISSAGE : vendredi 12 août à 19 heures.

Gérard Haton-Gauthier - UMAM 70 ans - Aspremont

Gérard Haton-Gauthier est né à Dijon en 1952. Il vit et travaille depuis 1982 à Roquebrune Cap Martin et enseigne à l’École d'arts plastiques de Menton.
Au fil des années, le noir s’impose dans les différentes représentations, encre de Chine, fusain et pierre noire sur toile ou papiers marouflés. La lecture proposée n’en est que plus directe.
Aborder le sujet jusqu’au plus profond de l’âme est l’élément essentiel de la démarche.
Sans artifice l’œuvre s’affirme d’elle-même dans sa poésie et son message.
Les sculptures sont le reflet des œuvres peintes ; tôles d’acier noires, acier inox, verre acrylique donnent le ton. Le rond de bosse laisse place à des formes épurées par la découpe au trait de contour.
Le travail préliminaire des œuvres est le plus souvent réalisé sur des carnets ce qui le dirige vers la conception et la réalisation de livre d'artiste ; les textes ou les phrases sont des extraits d'émotions choisies ou de réflexion personnelles. Les livres deviennent objets, boîtes à secrets, boîtes à rêves.


Exposition du  13 août au 11 septembre (mercredi, samedi, dimanche 14h30-18h30)
Chapelle des Pénitents Blancs à ASPREMONT
VERNISSAGE : vendredi 12 août à 19 heures.


Beatriz Moreno - UMAM 70 ans - Aspremont

L’univers de Beatriz Moreno est un univers inquiétant. Dans la vieille demeure de famille, baignée de nuit, sous un ciel sans étoiles, les ancêtres revivent d’une vie inhabituelle. Plus qu’un rêve, il s’agit d’une mise à nu de leur véritable identité. On ne connait jamais personne. Encore moins les morts, ceux de l’an passé comme ceux des siècles désormais évanouis dans la poussière du temps. Un long et impossible frisson nous traverse. Les voilà donc, rendus à leur vérité, arborant enfin leur vrai visage. Il était chat et le voilà chat. Au siècle des siècles. Il était loup. C’est pour l’éternité. Il était papillon. Il le demeurera. Hiératiques, hautains, bardés de fer ou de taffetas, je viens d’eux, de leur dérisoire splendeur.


Rien de monstrueux là pourtant. Inquiétant certes mais d’une beauté qui est celle que confectionnent les songes. Il s’agit de fixer la terreur, de lui donner image. Enfants, nous aimions le diable, les chimères et les croque-mitaines, les bêtes fabuleuses. Enfants, le péché nous hantait. L’art de Beatriz Moreno est très catholique. Au sens d’universel mais aussi au sens où, au moyen d’un travail étonnamment minutieux, revit devant nous la grandeur séculaire de l’Espagne. La photographe artiste se mesure à son passé, à celui des vieux palais et des tours de Tolède. Tout un cortège d’ombres... toute une merveille éteinte. Et eux à face d’autruche ou de lémurien, figés, grotesques... On songe à certaines pages de La route des Flandres par Claude Simon. On songe évidemment à Jérôme Bosch, à Francisco de Goya, à Salvador Dali. Sur le plan photographique, Beatriz Moreno a été marquée par Julia Margaret Cameron, Fox Talbot, Eugène Atget. Entre autres.
Les sentinelles de Tellus montent la garde. Tellus était la divinité romaine de la terre, la Gaia des Grecs. Tellus fit sortir du sol toutes les générations, les reprit ensuite pour en dissoudre les éléments et en tirer des existences nouvelles. Tellus a représenté le monde des morts en compagnie des Mânes. Tellus était associée à l’union maritale et à la procréation. Mort et vie. Là où elles se rencontrent. On invoquait Tellus avant de procéder à la moisson. On nommait la terre et on la touchait avec ses mains. Saint-Augustin l’évoqua, en la divisant entre son principe masculin et son principe féminin.

C’est un message muet qui nous est adressé, une mise en garde, un appel, un commandement. « Linquitur ut merito maternum nomen adepta terra sit, e terra quoniam sunt cuncta creata » écrit Lucrèce dans de Natura Rerum (V, 796). Il reste que c’est à juste titre que la terre a reçu le nom de mère, puisque tout est produit par la terre. » L’invention des sentinelles par Beatriz Moreno et donc le titre qu’elle a choisi s’expliquent ainsi, par la conscience aigüe qu’elle a des dangers qui menacent notre planète. Tellus Mater est celle grâce à qui le cycle vie/mort/renaissance peut exister. Tellus est « l’arbitre souveraine du monde, refuge des morts et régulatrice du renouvellement des existences. » Elle est passeuse de mondes, ordonnatrice des grandes mutations du vivant.

Il y a message mais c’est peut-être aussi à une nouvelle foi que nous appelle Beatriz Moreno, à une nouvelle mouture du culte ancien. Il ne s’agirait alors pas seulement de s’ouvrir à la gravité de la déesse et de ses sentinelles mais de répondre à une invite : celle d’en être, de les rejoindre. Réaliser en nous la fusion de l’animal et de l’humain, pour une nouvelle expérience du monde, pleinement poétique cette fois.

Eric Paul

Exposition du  13 août au 11 septembre (mercredi, samedi, dimanche 14h30-18h30)
Chapelle des Pénitents Blancs à ASPREMONT
VERNISSAGE : vendredi 12 août à 19 heures.

mardi 9 août 2016

Jonathan Ribeiro - UMAM 70 ans - Aspremont

Jonathan Ribeiro est né dans le sud de la France en 1987. Fils unique d'une famille aimante et unie, il grandit sur un socle religieux fort, porté par ses grands parents. Lui, n'a jamais cru. Il s'est pourtant toujours interrogé et intéressé à la théologie.

 Hors du cocon familial, sa jeunesse se révèle plus chaotique et violente. Il se passionne entre autres pour la philosophie, puis pour la métaphysique. La vie, la mort. Des questions sans réponse qui le torturent depuis toujours. 

 Ce repli sur soi l'entraîne alors vers des univers sombres, intimistes, imaginaires ou virtuels, qui ont tous contribué à fonder son identité artistique.
La violence à laquelle il fut confronté l'a poussé à se créer un monde où se mêle la violence contemporaine et la puissance des sentiments humains.


 La barbarie du monde l'intrigue et le fascine à la fois. Les jeux vidéos, le cinéma, la musique et les faits divers sont autant de pièces qui composent la personnalité de Jonathan Ribeiro.
Il n'est pas étonnant de trouver parmi ses principales influences des personnages tels que Joel-Peter Witkin, Gregory Crewdson, ou encore Friedrich Nietzsche.

Nous sommes dans un monde en crise, baigné de haine et de violence. La démarche de Jonathan Ribeiro est de catalyser ces émotions négatives. Les figer. Et les sublimer.

E.D.

Exposition du  13 août au 11 septembre (mercredi, samedi, dimanche 14h30-18h30)
Chapelle des Pénitents Blancs à ASPREMONT
VERNISSAGE : vendredi 12 août à 19 heures.

lundi 8 août 2016

Comment vous rendre à l'exposition UMAM d'Aspremont


Avant dernière exposition des 70 ans de la fondation de l'UMAM à Aspremont.
Vernissage vendredi 12 août à 19 heures
Chapelle des Pénitents Blancs d'Aspremont
Avec les œuvres de Marc Alberghina, Gérard Haton-Gauthier, Jacqueline Matteoda, Béatriz Moreno, Jonathan Ribeiro et Dan You

Via M14 : 27 minutes
Via M914 et M14 : 29 minutes
Via Avenue de Rimiez et M14 : 33 minutes

Par l'autoroute :
- sortie St Isidore,  puis route de Grenoble (direction Digne), enfin tournez à droite direction Colomars.
- sortie Nice-Nord, puis direction Gairaud et M14.