mardi 30 juillet 2013

Yves Hayat : Parfum de Révolte.

L’artiste offre une vue inattendue d'un objet emblématique de l'art - Southampton 2013.

Galerie Mark Hachem, Paris : Le printemps arabe est certainement un sujet «populaire» pour les artistes contemporains à réfléchir sur leur travail. C'est très pertinent, c'est dans les nouvelles et nombreuses institutions et galeries d'art sont désireux de saisir l'instant et à travers les visions de ces artistes présenteront leur propre miroir à l'instabilité politique mondiale.

Dans les dernières années, de nombreux artistes d'origine arabe ont choisi quelques moyens assez uniques pour exprimer leurs pensées et leurs sentiments sur les événements actuels au Moyen-Orient. Certains ont choisi des formes littérales graphiques et linguistiques, et certains ont trouvé beaucoup plus subtile pas d'outils moins puissants de s'exprimer. Tel était le corps de travail par un artiste français d'origine égyptienne Yves Hayat. Hayat, un artiste établi surtout connu pour ses œuvres photographiques, a choisi une image emblématique reconnaissable le monde entier. Mais la véritable signification de ces copies de films transparents superposés, emballé dans des boîtes en plexiglas clair, devient apparent que si vous donnez chaque image toute l'attention qu'elle mérite. Soudain, cet objet de beauté et de désir suppose une personnalité bien plus sinistre. Juxtaposés dans l'objet les images décrites des sculptés Chanel N 5 bouteilles et les mots de Bagdad, Kaboul, Homs, Istanbul, Lhasa dans leurs dégagée, polices propre, élégant semblent menaçants. Comme Mark Hachem , le propriétaire de la galerie éponyme à Paris nous dit, c'est là le point.




L'intention de l'artiste est d'attirer notre attention collective à l'intention sous-jacente de l'Occident pour les guerres de lancement, consumérisation des zones de conflit et l'imposition d'un système capitaliste, une culture occidentale de la consommation accrue sur les cultures étrangères à elle. Avec élégance et points de Hayat subtilité de ces différentes formes de colonisation en utilisant l'imagerie reconnaissable instantanément et permet au spectateur de compléter le récit sans un seul mot superflu.

Images courtesy de l'artiste et de la Galerie Mark Hachem, Paris.

Cette interview © galleryiIntell 2013

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire