Yvon Taillandier, peintre, sculpteur, écrivain Français, né en 1926 à Paris.
1942 Première exposition personnelle à la galerie L’art Français à Lyon.
Dans les années 1950, Yvon Taillandier abandonne la peinture au pro t de la Littérature (critique d’art, histoire de l’art). Collaboration pendant quatorze ans à la Revue Connaissance des Arts et à la Revue XXe siècle.
Il fut secrétaire du Comité du Salon de Mai pendant 44 ans.
La peinture d’Yvon Taillandier est figurative, constamment narrative et crée un monde imaginaire avec ses personnages, ses événements.Inventeur du “Taillandierland”, le peintre décrit ce monde inventé avec ses habitants, son univers. Mélangeant mage et langage, Yvon Taillandier se réclame d’une peinture littéraire.
Comme Boltansky ou Annette Messagier, Taillandier se complait dans un narcissisme à la mode qui lui permet de se ra- conter : petites photos, cahiers de brouillon, pages d’ écriture, pensées réunies en «éloge de l’imbécillité», variations sur des figures géométriques, empreintes digitales.
Mais il dépasse cette intimité de grenier et de tiroirs, « tarte à la crème » des musées et des biennales d’aujourd’hui, pour faire ce qu’il appelle de la spychovision. C’est, selon sa propre définition «une manière de peindre la réalité telle qu’elle apparaît dans la vie mentale».
Cet écrivain d’art, qui a publié des livres sur Rodin, Monet, Corot, n’a pas perdu l’élan inventif de l’enfant qui prend au sérieux ses merveilleuses chimères.
Jeanine Warnod
Vernissage Jeudi 3 Décembre
Galerie Gilles Naudin - 3 rue Visconti - Paris
01 43 26 64 71 ou infos@galeriegng.com
1942 Première exposition personnelle à la galerie L’art Français à Lyon.
Dans les années 1950, Yvon Taillandier abandonne la peinture au pro t de la Littérature (critique d’art, histoire de l’art). Collaboration pendant quatorze ans à la Revue Connaissance des Arts et à la Revue XXe siècle.
Il fut secrétaire du Comité du Salon de Mai pendant 44 ans.
La peinture d’Yvon Taillandier est figurative, constamment narrative et crée un monde imaginaire avec ses personnages, ses événements.Inventeur du “Taillandierland”, le peintre décrit ce monde inventé avec ses habitants, son univers. Mélangeant mage et langage, Yvon Taillandier se réclame d’une peinture littéraire.
Comme Boltansky ou Annette Messagier, Taillandier se complait dans un narcissisme à la mode qui lui permet de se ra- conter : petites photos, cahiers de brouillon, pages d’ écriture, pensées réunies en «éloge de l’imbécillité», variations sur des figures géométriques, empreintes digitales.
Mais il dépasse cette intimité de grenier et de tiroirs, « tarte à la crème » des musées et des biennales d’aujourd’hui, pour faire ce qu’il appelle de la spychovision. C’est, selon sa propre définition «une manière de peindre la réalité telle qu’elle apparaît dans la vie mentale».
Cet écrivain d’art, qui a publié des livres sur Rodin, Monet, Corot, n’a pas perdu l’élan inventif de l’enfant qui prend au sérieux ses merveilleuses chimères.
Jeanine Warnod
Vernissage Jeudi 3 Décembre
Galerie Gilles Naudin - 3 rue Visconti - Paris
01 43 26 64 71 ou infos@galeriegng.com
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