vendredi 26 février 2016

L'art en e-book

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De 1942 à 1954, sœur Jacques-Marie, initialement Monique Bourgeois, retrace sa rencontre avec Henri Matisse, laquelle donna lieu à la création de la chapelle du Rosaire, à Vence.

Dernier et ultime projet de l’artiste, elle correspond à l’aboutissement de son œuvre.

Henri Matisse déclara : « cette œuvre m’a demandé quatre ans d’un travail exclusif et assidu, et elle est le résultat de toute ma vie active. Je la considère malgré toutes ses imperfections comme mon chef-d’œuvre ».
Sœur Jacques-Marie raconte l’amitié et la complicité liées avec le peintre, au fil des années, desquelles a émergé le chef-d’œuvre qu’est la chapelle du Rosaire de Vence.

Des reproductions de dessins de Matisse, des photographies d’archives inédites, accompagnés des extraits de la correspondance du peintre, ainsi qu’une préface du directeur du Château de Villeneuve (Zia Mirabdolbaghi), et de l’ancienne conservatrice du musée Matisse du Cateau-Cambrésis (Dominique Szymusiak) viennent compléter le texte.
Traduction texte Sœur Jacques-Marie : Barbara Freed


Entre 1987 et 1994, Pierre Soulages réalise les 104 vitraux de l’église abbatiale Sainte-Foy-de-Conques, en créant un verre non coloré et translucide, qui respecte les variations de la lumière naturelle.

Dans un texte inédit, Bruno Duborgel porte un regard nouveau sur le travail de recherche de l’artiste qui a réalisé plus de 700 tentatives avant de parvenir au résultat espéré ! En mettant en dialogue la réflexion de Pierre Soulages avec des vues intérieures et extérieures des vitraux de l’église, le texte révèle la longue aventure créatrice de l’artiste, traversée de questions esthétiques, spirituelles et technologiques.

Les vitraux de Pierre Soulages expriment ainsi le passage du temps. Leur nature «physique» est un tremplin pour une expérience poétique, une méditation d’ordre métaphysique. Elle révèle une lumière qui, selon les mots de l’artiste, «propose de la contemplation, du silence, de la concentration, de l’intériorité».


Né en 1975 à Toulouse (France), Antoine Catala vit et travaille à New York (États-Unis).
Qu’il s’agisse de ses vidéos-sculptures ou de ses mots d’esprits, Antoine Catala joue avec les imperfections du langage, la physicalité des images et leur caractère tactile, utilise l’accident et la technologie, l’hologramme, l’imprimante 3D ou le morphing.
Ses oeuvres mettent en relation toutes les images, les extensions, les mots de langage, les signes, les logos, les atmosphères.
La télévision et internet sont parmi les sources d’inspiration du travail d’Antoine Catala, qui en reproduit les mécanismes en les détournant à des fins poétiques. Délibérément, l’artiste y trouve de nouvelles possibilités de lier le réel, l’image et le langage.
A l’occasion de l’exposition au MAC de Lyon, Antoine Catala transforme un étage entier du musée avec l’installation Jardin synthétique à l’isolement.

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